Histoire sensorielle – Projets GIEM

“A partir des orientations théoriques proposées par l'Histoire sensorielle et l'Anthropologie des sens, nous entendons aborder un aspect peu traité dans l'historiographie médiévale: sonore. Ces sons représentent un espace plein d'activité et de mouvement: et les sons de la nature rapportent les phénomènes qui se produisent dans ce, produite par les hommes signaler leur présence et leurs activités connexes. Le son d'une des manifestations de groupes humains sont le reflet de l'expérience sociale et culturelle, historiquement déterminé. Dans cette ligne d'analyse, la période médiévale reste étrangement silencieux. Il est connu pour sa littérature, ses monuments et ses objets, mais pas pour ses sons et ses silences. Ce, en partie, Cela est dû au fait, comme l'a démontré Constance Classen, dans le monde occidental, l'importance culturelle de la vue augmente, entre le Moyen Age et modernité, tandis que celui des autres sens diminue”.

“Qu'ont entendu les hommes et les femmes du Moyen Âge? Comment ont-ils fait? Quelle place donnaient-ils aux sons et aux silences? Quels enregistrements avons-nous des différents sons médiévaux? Comment les reconstituer? Ces questions ne sont qu'un échantillon des nombreuses questions que nous pouvons nous poser sur les « problèmes de son et d'audition’ du moyen age. A partir des orientations théoriques proposées par l'Histoire des sens, nous entendons aborder un aspect peu traité dans l'historiographie médiévale: sonore. Tout comme les sons de la nature informent sur les phénomènes qui s'y produisent, celles produites par les hommes signalent leur présence, étant historiquement déterminé. Malgré le fait que le Moyen Âge se distingue par sa sonorité, les travaux liés à ses ambiances sonores sont rares et ce malgré les rénovations historiographiques successives connues depuis les années vingt du siècle dernier. Dans cette ligne d'analyse, la période médiévale reste étrangement silencieux. Il est connu pour sa littérature, ses monuments et ses objets, mais pas pour ses sons et ses silences, comme nous avons pu le démontrer dans la première partie de ce Projet (2013-2014)”.

“Projets déjà exécutés –sensescapes, sons et silences du Moyen Âge (Je) et (II), 2013-2016– nous a permis de définir notre champ d'action propre et spécifique, liés à l'identification des paysages sonores médiévaux. Nous avons pu répondre à des questions telles que ce que les hommes et les femmes médiévaux écoutaient, comment ils ont fait, quelle place ils donnaient aux sons et aux silences, quels documents écrits nous sont parvenus concernant les différents sons médiévaux et comment les reconstituer. Ces questions ne sont qu'un échantillon des nombreuses questions que nous pouvons nous poser sur les « problèmes de son et d'audition’ du moyen age, que nous proposons cette fois d'aborder à partir de la notion de paysage sonore, intégrant ainsi la musique et la liturgie, non étudié dans les projets susmentionnés. A partir des orientations théoriques proposées par l'Histoire des sens, Nous continuons à approfondir ces aspects peu abordés et qui ont permis aux recherches générées dans le cadre de nos projets de devenir des références internationales pour les études sensorielles., ainsi que la formation d'une équipe multidisciplinaire à laquelle participent certains des principaux spécialistes du sujet”.

“Projets déjà exécutés –sensescapes, sons et silences du Moyen Âge (Je) et (II) 2013- 2016 y Paysages sonores médiévaux 2017-2018– nous a permis de définir notre champ d'action propre et spécifique, liés à l'identification des paysages sonores médiévaux. Nous avons pu répondre à des questions telles que qu'écoutaient les hommes et les femmes médiévaux ?, comment ils ont fait, quelle place ils donnaient aux sons et aux silences, quels documents écrits nous sont parvenus concernant les différents sons médiévaux et comment les reconstituer. Grâce aux résultats de ces initiatives, nous avons réussi à proposer une manière plausible d'étudier le Moyen Âge à travers l'analyse des perceptions sonores, et avec ça, avancer dans une approche holistique des sens. Dans cette opportunité, nous proposons d'explorer l'odorat, goûter et toucher, et continuer avec l'enquête auditive. A partir des orientations théoriques proposées par l'Histoire des sens, Nous continuons à approfondir ces aspects peu abordés qui ont permis les recherches générées dans le cadre de nos projets, devenir des références internationales pour les études sensorielles ainsi que la formation d'une équipe pluridisciplinaire, auquel participent certains des principaux spécialistes du sujet”.

“Projets déjà exécutés –sensescapes, sons et silences du Moyen Âge (Je) et (II) 2013- 2016, soundscapes médiévale 2017-2018 et le Moyen Âge à travers les sens (Je) 2019-2020– Ils nous ont permis de définir notre propre et spécifique champ de connaissance et d'action, liés à l'identification des paysages sonores médiévaux, marques sensorielles, cartes sonores et communautés sensorielles. Aussi, nous avons pu répondre à des questions sur l'importance des sens dans la formation des groupes sociaux, dans l'établissement de modèles de comportement et dans la vie culturelle de ces siècles. Grâce aux résultats de ces initiatives, nous avons pu proposer une manière plausible d'étudier le Moyen Âge à travers une approche holistique des sens. Dans cette opportunité, nous proposons d'explorer, conjointement, le sens de l'odorat, Comme, toucher, la vue et l'ouïe. A partir des orientations théoriques proposées par l'Histoire des sens, Nous continuons à approfondir ces aspects à peine abordés qui ont permis à la recherche générée, dans le cadre de nos projets, deviendront des références internationales pour les études sensorielles, ainsi que la constitution d'une équipe de travail pluridisciplinaire, auxquels participent certains des principaux spécialistes du sujet et des chercheurs nationaux et étrangers”.

Proponemos investigar cómo en la Edad Media, en función de las diversas fuentes documentales que llegaron hasta el presente, se recurrió al cuerpo, las emociones y los sentidos para configurar sus diferentes visiones de la sociedad y del mundo, nociones que hoy se recuperan y resignifican en producciones culturales que toman al Medioevo como tema y problema estético.
En ese marco, trabajaremos el corpus con tres criterios operativos para el análisis previsto y que, à la fois, permiten abordar las problemáticas de manera conjunta, dado que las diferentes nociones de cuerpo, de emociones y de sentidos se manifiestan en la documentación de manera integrada. Este planteo supone un diálogo entre la historiografía de mediados del siglo XX en adelante con los desarrollos teóricos de otras disciplinas (como la literatura, la semiótica, la arqueología, la filosofía, el derecho, etc.), relacionado con los límites que tenemos para acceder al pasado y reconstruirlo. Dichas categorías permitirán estudiar fenómenos concretos de representación de la Edad Media en el corpus a partir de oposiciones, tales como humano/no humano, lo propio/lo ajeno; lo público/lo privado y lo permitido/lo prohibido, entre.
Las investigaciones previas y en curso de quienes formulamos este proyecto permiten asegurar que las múltiples facetas simbólicas del cuerpo, las emociones y los sentidos, así como sus analogías con la persona y con las instituciones de la vida social, construyen nociones y orientan prácticas que se manifiestan en cada momento histórico con una fisonomía y funcionalidad particulares. La pluralidad semántica y las bases diacrónicas de la idea de cuerpo, emociones y sentidos habilitan un estudio interdisciplinario, comparativo y hermenéutico que contribuya a comprender su historicidad, su impacto ideológico y las innumerables posibilidades estéticas que promueve en distintos ámbitos de la cultura, tanto de la Edad Media como del momento
actual.

Proseguimos con la investigación acerca de cómo en la Edad Media, en función de las diversas fuentes documentales que llegaron hasta el presente, se recurrió al cuerpo, las emociones y los sentidos para configurar sus diferentes visiones de la sociedad y del mundo, nociones que hoy se recuperan y resignifican en producciones culturales que toman al Medioevo como tema y problema estético.
En ese marco, y en continuidad de la etapa I del proyecto, trabajaremos el corpus con tres criterios operativos para el análisis previsto y que, à la fois, permiten abordar las problemáticas de manera conjunta, dado que las diferentes nociones de cuerpo, de emociones y de sentidos se manifiestan en la documentación de manera integrada. Este planteo supone un diálogo entre la historiografía de mediados del siglo XX en adelante con los desarrollos teóricos de otras disciplinas (como la literatura, la semiótica, la arqueología, la filosofía, el derecho, etc.), relacionado con los límites que tenemos para acceder al pasado y reconstruirlo. Dichas categorías permitirán estudiar fenómenos concretos de representación de la Edad Media en el corpus a partir de oposiciones, tales como humano/no humano, lo propio/lo ajeno; lo público/lo privado y lo permitido/lo prohibido, entre.
Las investigaciones previas y en curso de quienes formulamos este proyecto permiten asegurar que las múltiples facetas simbólicas del cuerpo, las emociones y los sentidos, así como sus analogías con la persona y con las instituciones de la vida social, construyen nociones y orientan prácticas que se manifiestan en cada momento histórico con una fisonomía y funcionalidad particulares. La pluralidad semántica y las bases diacrónicas de la idea de cuerpo, emociones y sentidos habilitan un estudio interdisciplinario, comparativo y hermenéutico que contribuya a comprender su historicidad, su impacto ideológico y las innumerables posibilidades estéticas que promueve en distintos ámbitos de la cultura, tanto de la Edad Media como del momento
actual.